Résumé
Plus grand conflit armé de l’Histoire, dans l’esprit collectif, la Deuxième Guerre mondiale est synonyme de sang, de souffrances et de morts. Soixante-deux millions de morts.
Alors que les hommes s’entretuaient, la vie devait pourtant continuer. Au-delà de l’enfer, la guerre a aussi suscité fraternité, beauté et espoir. Dans ce livre, ce sont ces moments de vie, que l’on ne retrouve pas dans les archives ou dans les manuels scolaires, que l’auteur a décidé de récolter çà et là.
Alors qu’il a été enfermé à dix ans dans un camp de concentration avec sa famille, Alain Stanké nous raconte comment, à travers des petits bonheurs ordinaires, il a lui-même réussi à survivre à l’horreur.
Ce livre est une série d’anecdotes joyeuses qui ont la vertu de nous réconcilier avec la nature humaine et de nous faire (re)découvrir l’Histoire avec un autre regard.
Alain Stanké est né à Kaunas, en Lituanie, en 1934. Il a vécu en France après avoir dû fuir son pays. Arrivé au Québec en 1951 en tant que journaliste, il a été correspondant canadien du France-Soir et du Figaro Magazine. Il est également auteur, producteur et a été éditeur pendant plus de quarante ans.
Après avoir dirigé les éditions de l’Homme, il a fondé les éditions La Presse puis les éditions internationales Alain Stanké. Grand humaniste, il est très engagé auprès de nombreux organismes à caractère philanthropique. Sa devise : Une vie n’est pas assez.
Détails produit : broché.